Pour certaines situations médicales, la transplantation d’organes, de tissus ou de cellules peut être le seul traitement.
Les progrès réalisés dans les techniques chirurgicales, dans la gestion de l’immunosuppression, dans l’appariement donneur-receveur et dans le domaine des agents antimicrobiens, ont contribué à augmenter le taux de réussite des transplantations1.
Cependant, les complications dues à une infection après une greffe sont l’une des principales causes de morbidité et de mortalité postopératoires, de rejet ou de perte du greffon2.